A propos
Qu’est-ce que la littérature pour David Bosc? Ça consiste à célébrer soukkot, la fête des cabanes: «Lorsque, toujours provisoirement, on quitte son logis pour s’inventer une précarité, pour se mettre à la merci des avanies, des joies, des surgissements, et que l’on fabrique une structure à la fois neuve et archaïque, avec des branches – et ce qu’il faut de crottin de cheval.» Dans ce texte prononcé à l’occasion de la remise du Prix Dentan, l’auteur de Mourir et puis sauter sur son cheval dévoile avec humour, un bâton de colle et une bonne quantité de crottin et de branchages sa vision d’une littérature qui est aussi affaire de bricolage.
En parallèle, les dessins de Philippe Fretz démontent et remontent en 11 vignettes des cabanes tout aussi bricolées à base d’encre de Chine, de mousse et de fumée pour un petit volume «qui n’a qu’une hâte, qu’une idée en tête, et c’est d’y accueillir un invité de choix – une folle, un fuyard, le Christ ou le premier venu.»
REVUE DE PRESSE
TOWARDGRACE.BLOGSPOT.CH, 20/03/2018
«À l’école du crottin de cheval», par Christophe Claro
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CAHIER CRITIQUE DE POÉSIE, 12/05/2017
«David Bosc: La fête des cabanes», par Tristan Hordé
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Informations
- N° 161
- Auteur-e-s
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Artiste(s)
Philippe Fretz
- Format 12 x 16 cm
- Pages 28
- Poids 35 gr.
- Collection Bomb, Varia
- ISBN 978-2-940570-19-5
- Date de parution octobre 2016
- Prix CHF 12.00