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Roman Signer par lui-même

CHF 17.80

A propos

Roman Signer raconte des histoires merveilleuses d’humour et de concision. La publication de ces entretiens permet de mettre en lumière cette facette encore relativement méconnue de l’artiste en évoquant son enfance et sa jeunesse en Appenzell, son séjour en Pologne où il a rencontré sa femme Aleksandra, ses premières années difficiles en tant qu’artiste, ses premiers succès, les voyages qui ont suivis dans des pays tels que l’Islande ou le Japon, deux pays qu’il aime et qui ont influencés son travail. On y trouvera aussi des réflexions sur sa méthode de travail, ses rêves, des anecdotes sur l’origine des ses œuvres et parfois ses ratages, sur le scarabée bombardier, l’intelligence des termites, les bottes en caoutchouc, la foudre en boule, la musique dans la forêt, l’humour et la tyrannie de la nature.

Roman Signer, né en 1938 à Appenzell, est l’un des artistes suisses les plus exposés dans le monde. Depuis 45 ans, il redéfinit la sculpture contemporaine avec ses actions-sculptures qui mettent en friction des objets et les éléments (air, eau, feu) pour générer une véritable poésie de la destruction. Il vit à Saint-Gall en Suisse. Roman Signer a conçu la série photographique Parapluies spécialement pour ce livre. Les photos ont été réalisées par sa fille, Barbara Signer et par Michael Bodenmann. Peter Zimmermann, qui a publié et conçu en collaboration avec Roman Signer les trois volumes du catalogue raisonné de son œuvre ainsi que la majorité des publications sur l’artiste, a entrepris avec David Signer l’édition de ce livre.

David Signer, l’auteur, porte le même nom que Roman Signer et est également originaire d’Appenzell Rhodes-Intérieures, mais n’a néanmoins aucun lien familial avec lui – même si de mauvaises langues prétendent que, dans ces contrées, tout le monde est apparenté d’une manière ou d’une autre.Né en 1964 à Saint-Gall, David Signer est ethnologue. Il a été journaliste pour les rédactions de Das Magazin, Die Weltwoche, Du et de la NZZ. Son enquête de terrain sur la sorcellerie dans divers pays de l’Afrique de l’Ouest a donné lieu à la publication d’Économie de la sorcellerie (Les presses du réel, 2017, trad. Mariette Althaus). Il est aussi l’auteur de textes de fiction, dont récemment le recueil de nouvelles Dead End (Lector Books, 2017). Il est aujourd’hui correspondant en Afrique pour la NZZ et vit à Dakar.

Mariette Althaus, née à Vallorbe, a suivi des cours de danse classique, d’art dramatique, pratiqué le journalisme et la photographie. Elle traduit des textes de chansons, des scenarii, mais avant tout des textes sur l’art, collaborant, entre autres, avec Harald Szeemann et avec Jean-Christophe Ammann. Parmi ses traductions: Richter, peintre d’Allemagne et Sigmar Polke et les esprits supérieurs (Les presses du réel, 2012 et 2015). Elle vit au Portugal.

REVUE DE PRESSE

REVUE ESPRIT n°456, juillet-août 2019
«Roman Signer par lui-même de David Signer», par Jean-Paul Gavard-Perret
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LE COURRIER, 22/03/2019
«Signer, tout un roman», par Samuel Schellenberg
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LE TEMPS, 16/03/2019
«Roman Signer, le boom de l’art», par Arnaud Robert
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